Enchemin, ils ont eu la grande surprise de croiser les vaches se prélassant à l’ombre sous le pont juste avant d’arriver au parking. De ce petit coin de Paradis, vous avez la possibilité d’emprunter les sentiers menant jusqu’aux magnifiques Lacs de Bastan culminants à 2280 m, et surplomber le Lac de l’Oule. En 4h aller/retour, c Lepourquoi du comment. 7 nov. Chaque semaine, on a 2 jours ET UNE NUIT pour vivre des expériences qui nous tirent loin de notre lit le samedi soir. Dormir dehors, c’est hautement réjouissant. - Et NAN, c’est pas dangereux. - Et NAN, c’est pas interdit ! - Et NAN, c'est pas fou du tout (bien que la folie soit une très belle maladie Illustrationsonore de l'article de mon blog : AVANTD'ALLER DORMIR SOUS LES ETOILES N° de SIRET 84524885500015; AVANT D'ALLER DORMIR SOUS LES ETOILES. Conseil affaires et gestion. 24 Rue Vineuse, 75116 Paris. Laisser Tourismedans l'Hérault : seuls dans un dôme sous les étoiles de Quarante, au domaine Atma 3 Tourisme. Gard : dormir la tête dans les étoiles de Provence à St-Paulet-de-Caisson Leurvoie était toute tracée. Une mission en Antarctique pourrait bien changer leur vieRetrouvez l'intégrale de la série Médecins sous les étoiles, en un seul clic !Le sauveteur de l'Antarctique, Robin GiannaRéunis sous la neige, Amalie Berlin LaBulle étoilée est ouverte depuis le 1er mars 2016 et propose des nuitées de détente dans des structures transparentes associant rêve et confort. Si l’idée de revivre vos rêves d’enfant et de laisser place à la sérénité vous attirent, rendez-vous dans le Calvados à BONNEMAISON (à seulement 20 min de Caen) pour une nuit insolite dans une bulle transparente. bHTJ. on pense à Etienne ! berceuse basque .. Dors mon amour, la nuit s'étend sur la plaine, Et dans le ciel chante le vent du soir, Dors mon amour avec ta main dans la mienne, Clos tes beaux yeux illuminés d'espoir. Que ton visage d'enfant bien sage, Garde son calme et sa douceur, Sur tes joues roses, l'ombre se pose, Dors mon amour, mon seul bonheur. Présentation Vous rêviez de pouvoir passer une nuit dans le paradis des Mottets ? Et bien cela va pouvoir se réaliser. C'est une véritable bulle d'air que je vous invite à venir prendre. Face aux Drus majestueux et suspendus aux arbres de la forêt des Mottets, blottis dans votre cocon, contemplez les étoiles et laissez vous bercer par le murmure de la nature endormie, grâce à une tente bulle transparente. Possibilité de fermer les rideaux pour plus d’intimité Je souhaite avant tout que cette aventure reste insolite pour chacun, et c’est pour cela que je n’installerais que quatre bulles sur le site, afin que les aventuriers qui souhaiteraient passer une nuit aux Mottets, puissent également être insolite et intime. C’est un baptême de l’air un peu particulier, mais un baptême à l’immersion en pleine nature sous un toit d’étoiles, suspendu aux arbres. Mieux qu’un 4 étoiles, 1 million d’étoiles, cette tente vous permettra de pouvoir les observer en direct de votre couette. Au programme Dîner traditionnel face au couché de soleil sur les montagnes, nuitée dans une bulle suspendue, petit déjeuner face au levé du soleil sur les Drus. Ça vous tente » ? Réservez vite. Pour toutes informations ou réservations merci de me contacter par téléphone ou par mail. Tarifs Individuel adulte 88 € Individuel enfant 72 €. Gratuit pour les moins de 4 ans. Les tentes sont conçus pour 3 personnes2 adultes et 1 enfant. Le prix par personne comprend, un dîner à la carte, une nuitée et un petit déjeuner. Localisation Nuit dans une bulle aux Mottets Rocher des Mottets 74400 Chamonix-Mont-Blanc Dans le Massif des Vosges, les pentes sont douces, la nature généreuse et les forêts profondes. Entre lacs, cascades, ballons et vertes prairies, les paysages invitent à la sérénité et favorisent le ressourcement, de jour comme de nuit. Pour prolonger cette reconnexion, découvrez 4 gites insolites où séjourner au plus près des étoiles. En totale harmonie à Bleu Minuit © Bartosch Salmanski - 128db — Une vue directe sur la nature environnante aux lodges de Bleu Minuit Lignes pures, plafonds en verre, grandes baies vitrées… Les lodges à la belle ossature en bois de Bleu Minuit accueillent la lumière et jouent la transparence en plein cœur du Parc naturel des Vosges. À une heure de Strasbourg, l’immersion est garantie dans un océan de verdure, tous les sens en éveil. Contemplation à perte de vue, bruissements de feuilles et chants d’oiseaux, douceur d’un mobilier tout en matières nobles… L’artisan compagnon qui a imaginé ces lieux a soigné perspectives, proportions, isolation et délicates attentions jusqu’à la terrasse équipée d’un bain de Patagonie et d’un télescope pour plonger dans le bleu de la nuit. À minuit sonné, lorsque la voie lactée s’invite à travers la grande verrière en surplomb du lit, on vous promet un sommeil 1 000 étoiles … Ecolodges Bleu minuit en Alsace Lien externe Cap sur le bien-être au 48° Nord © Hôtel 48 Nord — Confort maximal dans une "hytte" en pleine nature Connaissez-vous les hyttes, ces chaleureuses cabanes où il fait bon se lover dans un plaid, le regard fixé sur la ligne bleue de l’horizon ? Niché dans une haute vallée d’Alsace, bien abrité par les cols des Vosges voisines, le Landscape Hotel 48e Nord a essaimé en pleine nature ses maisonnettes au confort 4 étoiles. En surplomb de l’éco-village de Breitenbach, point de départ de nombreuses excursions vers le Mont Saint-Odile, le Haut-Koenigsbourg ou sur la route des vins d’Alsace, sont implantées des constructions légères en verre et en bois local, posées au milieu de la prairie ou sur une branche d’arbre. Ici, on goûte aux plaisirs de partager un bon repas, de se balader, de se baigner ou simplement de s’adonner à la paresse. Bref, on cède au "hygge", cette philosophie nordique du bien-être qui s’accorde parfaitement à la sérénité émanant du Massif des Vosges. Landscape Hotel 48° Nord Lien externe Lâcher prise au Hameau des Sens Envie d’authenticité dans un environnement protégé, une nature préservée, pour lâcher prise et revenir à l’essentiel ? Le Hameau des Sens, tout près de Saverne en Alsace, propose ses hébergements originaux à flanc de coteau du Massif des Vosges. Les cinq chalets en bois massif des forêts alentours fleurent bon la tradition et la passion d’artisans chevronnés. Coup de cœur pour les bains nordiques individuels installés sur les terrasses avec vue imprenable sur la verte campagne alentour. Au petit matin, lorsque la nature s’éveille ou de nuit, sous une pluie d’étoiles, on s’y délecte d’une eau de source chauffée à 39°. Doté d'un bain thermal et d’un jacuzzi, le centre de bien-être du Hameau des Sens prolonge la reconnexion avec soi-même, avant ou après une randonnée, une balade en vélo ou un repas gastronomique. Idéal dans ce Massif des Vosges où les cinq sens sont comblés. Le Hameau des Sens Lien externe Au plus près de la voie lactée aux Cabanes de Belfahy © Cabanes de Balhefy — Un séjour ombragé dans la cabane du Lynx. Il y a la Cabane aux Myrtilles, celle du Remonte-Pente, la Cabane du Lynx et puis celle du Bolet. Les astronomes en herbe préfèreront la Cabane de la Voie Lactée, la plus originale des cinq Cabanes de Belfahy. Perchées dans les arbres sur les hauteurs du plus haut village de Haute-Saône, dans le massif des Vosges, elles proposent toutes un confort 4* tel ce sauna/jacuzzi privatif à savourer après une balade en forêt, à pied ou en VTT. Pour s’endormir la tête dans les étoiles, la Cabane de la Voie Lactée surprendra même les plus connaisseurs avec son système de projection sur une voûte à 180°, prolongeant la vision offerte par le télescope à disposition sur la terrasse. En temps réel, quelle que soit la météo, la voie lactée si lumineuse dans la pureté du ciel vosgien tapisse le plafond-dôme de la cabane. Depuis votre nid douillet, étoiles filantes et constellations sont presque à portée de main… Magique ! Cabanes de Belfahy Lien externe À MADAME DE P***. Il est pour la pensée une heure… une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la céleste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux. On voit à l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traîne, Balayer lentement le firmament obscur, Où les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sème en tourbillons dans le brillant espace. L’œil ébloui les cherche et les perd à la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un céleste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-là, comme un coursier volant dans la carrière, Déroulent à longs plis leur flottante crinière ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant à demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de légères étoiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’Océan aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaît le nombre, et la distance, et l’âge Les uns, déjà vieillis, pâlissent à nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, Lèvent un front riant de grâce et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraîches clartés, Étonnent tout à coup l’œil qui les a comptés. Dans l’espace aussitôt ils s’élancent… et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-né, les salue et les nomme. Quel mortel enivré de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chœur suprême, Ne l’a pas consacré du nom de ce qu’il aime ? Moi-même… il en est un, solitaire, isolé, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolé, Et dont l’éclat, voilé des ombres du mystère, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-être… ah ! puisse-t-il au céleste séjour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abîme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-même avec eux emportés dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zéphyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur où le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mâts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gémissements ; Et l’homme, sur l’abîme où sa demeure flotte, Vogue avec volupté sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, où donc allons-nous tous ? Quel est le port céleste où son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il à notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste écueil, Semer l’immensité des débris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre éternelle à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus près de la céleste voûte, Mondes étincelants, vous le savez sans doute ! Cet océan plus pur, ce ciel où vous flottez, Laisse arriver à vous de plus vives clartés ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vérité la lumière est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forêts les dômes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritées, Calme en les éclairant les vagues agitées ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la prière, l’amour, Et, quand l’œil attendri s’entr’ouvre à leur lumière, Attirent une larme aux bords de la paupière ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beauté, les rêves qu’on regrette, Et le vol enflammé de l’aigle et du poëte, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous êtes un séjour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, à travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vérité, Ces fruits tombés du ciel, dont la terre a goûté, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent à jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-être, à ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. Hélas ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes Où notre âme plus libre a des vœux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmuré tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, échappant à ce globe de boue, Dans la sphère éclatante où mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout à coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beauté suprême, Comme un pâle fleuron de son saint diadème ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller près de la terre ; J’aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prés, à flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une âme en deuil, un cœur qu’un poids sublime oppresse, Répandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dérobant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un génie inquiet, une active pensée Par un instinct trop fort dans l’infini lancée ; Mon rayon, pénétré d’une sainte amitié, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitié, Comme un secret d’amour versé dans un cœur tendre, Sur ces fronts inclinés se plairait à descendre. Ma lueur fraternelle en découlant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait à leurs yeux Je leur révélerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sécherais leurs pleurs, et quand l’œil du matin Ferait pâlir mon disque à l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupière attendrie, Leur laisserait encor la vague rêverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassés de gémir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sœurs, étoiles mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la céleste chaîne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraîne ; Vous guideriez mon œil dans ce vaste désert, Labyrinthe de feux où le regard se perd Vos rayons m’apprendraient à louer, à connaître Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-être ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartés, Je sentirais en lui… tout ce que vous sentez. Huitième méditation Alphonse de Lamartine Avant d’aller dormir sous les étoiles Doux Maître, humblement, à genoux, Tes fils t’ouvrent leur cœur sans voile, Si nous avons péché, pardonne-nous. Eloigne de ce camp le mal qui passe, Cherchant dans la nuit son butin. Sans toi, de toutes ses menaces, Qui nous protègera, berger divin ? Protège aussi, Seigneur, ceux qui nous aiment, Partout garde-les du péril. Pitié pour les méchants eux-mêmes Et paix à tous nos morts ! Ainsi soit-il.

avant d aller dormir sous les etoiles