2jours et 1 nuit sur l'île d'Ouessant pour un tour complet de l'île. Arrivée et départ de Brest pour un accès facilité. Activité Randonnée pédestre. Type Itinérant. Niveau Niveau 2 : facile. Confort Standard. Agrandir la carte. Découvrez la côte d'Iroise par le sentier des douaniers, depuis la plage de Sainte-Anne jusqu'au Conquet Description Histoire. Faune et flore. Gestion. Pratique. En ce moment (2 évènement (s) à l'affiche) Aux confins de la mer d’Iroise, à vingt kilomètres des terres les plus avancées du continent, se découpe sur la ligne d’horizon la plus occidentale des îles du Ponant, Uxisama la Celte, Ouessant. 27nov. 2017 - Une journée de découverte de l’île de Ouessant à vélo, et particulièrement des pointes de Pors Doun et de Pern. Confidentialité. Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flèches Haut et Bas pour vous déplacer et la touche Entrée pour sélectionner. Pour les utilisateurs d'un appareil tactile Randonnéespectaculaire vers l’extrémité ouest de la presqu’île de Crozon, où les superbes panoramas se succèdent : les énormes rochers du site des Tas de Pois depuis la pointe de Pen Hir puis depuis la pointe du Toulinguet arrivée Samedi4 août, la 31e édition du Tour de l’île à la marche organisée par l’association Ouessant Sports et Loisirs (OSL) a réuni 78 participants, L'édition numérique du mardi 24 mai 2022 Cartedes plus grandes parties du territoire français représentées à la même échelle. Cet article recense les îles françaises. Îles de pleine mer Côtes métropolitaines de l'Atlantique et de la Manche Normandie Manche. Îles normandes de la baie du Mont-Saint-Michel : Mont Saint-Michel (à marée haute par grands coefficients), (Le Mont-Saint-Michel) Tombelaine ; Îles Chausey - Alimage de la petite île Ouessant qui se situe à la pointe du Finistère, la collection exprime une forme de rudesse naturelle alliée à une authenticité pure. Ses lignes sobres et délicates font de Ouessant une collection intemporelle et contemporaine. Fabrication Française Caractéristiques - Verre pressé épais et résistant - Made in France - Diamètre : 8,1 cm - Hauteur : 14,8 cm JToaqTS. Faire le tour de l’île d’Ouessant en une journée c’est parfois comme traverser les 4 saisons d’un coup. Préparez-vous à découvrir une île magnifique au caractère authentique par tous les temps. Une randonnée certes difficile sur la longueur environ 38Km ainsi que les variations de dénivelé mais quel plaisir de boucler la boucle avec la satisfaction de l’accomplissement d’un petit défi. L’idéal après tout ça c’est de déguster un bon ragoût dans les mottes, plat traditionnel Ouessantin. Marre des cartes trop encombrantes ? Personnalisez les pdf de vos randonnées Personnalisez les pdf de vos randonnées selon vos envies Partez avec une carte et des informations claires choisissez le fond de carte, la couleur et l’épaisseur du tracé, l’échelle, les infos à afficher, et cadrez votre randonnée au plus juste. Testez GRATUITEMENT Fiche technique n°4058523 Une randonnée Ouessant créée le mercredi 16 septembre 2020 par CharlieBZH. MAJ vendredi 02 octobre 2020 Description de la randonnée Remarque liminaire Pour le départ de cette randonnée, je conseille de partir tôt le matin, avant le lever du soleil, en partant de Lann Vihan près du Château d’Eau au milieu de l’île. D/A Remontez la route vers la côte Nord de l’île,face à l’île de Keller. Vous arrivez au début de la pointe de Penn Ar Rumeur. 1 À partir de là, c'est très simple, il suffit de prendre le sentier côtier sur la droite et de le longer en gardant toujours la mer sur la gauche. C'est impossible de se tromper ainsi. Afin de profiter un maximum, prenez toujours le sentier le plus à gauche au plus près de la côte mais restez toujours vigilant surtout si vous avez des enfants ou un chien. Respectez les panneaux indiquant qu'il faut s'éloigner du bord quand c'est le cas. Vous arrivez à côté du Fort de Kernic construit en 1862 2 Poursuivez en face pour accéder à la pointe de Cadoran au Nord-Est de l'île où les rochers et la côte sont très escarpés, la mer souvent agitée. C'est la partie la plus sauvage de Ouessant. 3 Longez toujours le sentier côtier en restant vigilant pour accéder au Phare du Stiff, un des plus anciens phares de France, construit par Vauban et mis en service en 1700, classé Monument Historique depuis 2011. 4 Dirigez vous par la route vers le port du Stiff plus bas, quand vous avez la route descendant au port sur votre gauche, continuez tout droit toujours sur la route et dès que vous voyez le sentier côtier sur votre gauche, prenez-le pour découvrir la pointe de Penn Ar Lann. 5 Remontez un petit sentier et découvrez le cromlech, un site mégalithique datant probablement du néolithique. Il s'agit d'un lieu de culte celte. Toujours en longeant le sentier côtier, vous arrivez à La Croix de Saint-Pol datant de 1702. 6 Ensuite, descendez vers le port d'Arlan. Quand vous avez le port sur votre gauche, remontez le chemin en terre jusqu'à croiser sur votre gauche le sentier côtier qui remonte dur. Vous aurez le plaisir de traverser un joli chemin couvert par la végétation. Continuez votre route. Vous arrivez à la baie des voleurs, il parait que jadis des pilleurs débarquaient ici. 7 Poursuivez sur ce sentier en bordure de la mer, zigzaguez pour passer les pointes successives qui mènent à la cale de Penn Ar Roc'h. 8 Prolongez toujours sur ce sentier au balisage Jaune, passez Porz an Éjen et rejoignez plus loin la Pyramide du Runiou. Il s'agit d'un amer qui aide à la navigation maritime. 9 Continuez plein Ouest pour accéder à la pointe de Porz Doun où, si la mer est basse, en descendant dans les rochers, vous pouvez découvrir un trou dans la roche. cf photos. 10 Changez de direction pour partir plein Est, contournez Porz Goret et cheminez ensuite jusqu'à la plage du Prat, vous découvrez ici le Lavoir de Saint-Guénolé du Prat. 11 Contournez maintenant la Plage de Corz pour accéder à la Croix de Saint Nicolas face à la baie de Lampaul. Vous arrivez au bourg de Lampaul. 12 Reprenez la route vers le sentier côtier et repartez direction Ouest. dépassez le hameau de Parluc'hen, puis Poull Guéguen et Loqueltas. Rejoignez ensuite le fort de Loqueltas construit en 1862. 13 Toujours direction Ouest rejoignez la point le plus à l'Ouest de l'île à la Pointe de Pern. 14 Profitez de la marche jusqu'à la pointe du Créac'h pour observer les rochers grandioses et laisser votre imagination donner vie à ceux-ci, saurez-vous trouver celui qui ressemble à un lapin. Rejoignez alors le Phare du Créac'h construit en 1863 avec une portée lumineuse de 60Km. Vous pouvez visiter le musée des phares et balises à l'occasion. 15 Prolongez maintenant à nouveau direction Est, rejoignez Beg Biniglou puis accédez à la cale de Yusin. 16 Longez maintenant une partie de la côte Nord pour arriver à la pointe de Penn Ar Rumeur, c'est le lieu le plus au Nord de Ouessant. Vous êtes au plus près de la mystérieuse île de Keller avec sa seule et unique maison. Profitez de la vue et des alentours. 17 Descendez la pointe vers le sentier côtier pour retrouver le carrefour initial. 1 Reprenez la même route qu'à l'aller pour retrouver le point de départ au Château d'Eau de Lann Vihan D/A. Personnalisez votre newsletter selon vos préférences Personnalisez votre newsletter Chaque semaine, recevez des idées de randonnées qui vous correspondent choisissez la durée moyenne, la difficulté, la zone et le type d’activités que vous souhaitez privilégier. Chaque semaine, recevez des idées de randonnées qui vous correspondent choisissez la durée moyenne, la difficulté, la zone et le type d’activités. Chaque semaine, recevez des idées de randonnées qui vous correspondent choisissez la durée moyenne, la difficulté, la zone et le type d’activités. Testez GRATUITEMENT Points de passage D/A km 0 - alt. 27m - Château d’Eau de Lann Vihan1 km - alt. 7m - Début du sentier côtier 2 km - alt. 13m - Fort de Kernic3 km - alt. 16m - Pointe de Cadoran4 km - alt. 61m - Phare du Stiff5 km - alt. 24m - Cromlech 6 km - alt. 21m - Croix de Saint-Pol7 km - alt. 14m - Baie des voleurs8 km - alt. 24m - Cale de Penn Ar Roc’h9 km - alt. 13m - Pyramide du Runiou10 km - alt. 1m - Pointe de Porz Doun11 km - alt. 9m - Lavoir de Saint-Guénolé12 km - alt. 9m - Bourg de Lampaul13 km - alt. 10m - Fort de Locqueltas 14 km - alt. 7m - Pointe de Pern15 km - alt. 13m - Phare du Créac’h 16 km - alt. 6m - Cale de Yusin17 km - alt. 2m - Penn Ar RumeurD/A km - alt. 28m - Château d’Eau de Lann Vihan Informations pratiques Pour cette randonnée, je conseille vivement de préparer de l’eau en quantité suffisante, des sandwichs et des barres de céréales. Car en dehors du bourg de Lampaul, vous ne trouverez aucun point d’eau ni aucune alimentation. Pensez aussi à prendre des vêtements de rechange chaussettes, des chaussures adaptées imperméable. Il peut être très intéressant de se documenter à l'Office du Tourisme. Remarque ce tour intégral de l'île peut sans doute paraître trop difficile sur une journée. Le tracé proposé peut se faire sur 2 jours en restant une nuit à l'Auberge de Jeunesse. Il suffira alors de relier Lampaul à Porsguen pour effectuer ces 2 boucles. Et pour les personnes disposant de temps faire ce tour en 4 jours permettra alors de profiter un maximum de cette île. Il suffira alors d'adapter à sa guise ce circuit. Soyez toujours prudent et prévoyant lors d'une randonnée. Visorando et l'auteur de cette fiche ne pourront pas être tenus responsables en cas d'accident ou de désagrément quelconque survenu sur ce circuit. Pendant la rando ou à proximité 4 Phare du Stiff Vous pouvez le visiter et si vous avez de la chance l'été vous pouvez acheter le fameux miel de l'abeille noire de Ouessant très prisé, en vente au pied du phare. 8 Cale de Penn ar Toc'h ici jadis beaucoup de naufragés et de bateaux ont trouvé refuge pour échapper aux tempêtes et au terrible courant du Fromveur. Histoire notable, celle des rescapés du cargo Vesper en 1903 sauvés par une Ouessantine, Rose Héré. 10 Porz Doun cet endroit de l'île est un lieu sympathique pour prendre un pique-nique après la longue marche que vous avez déjà effectuée. Au loin vous pouvez voir le Phare de la Jument. 14 Pointe de Pern ici c'est probablement le plus bel endroit de l'île. Vous apercevez des ruines de bâtiments qui ont servi jadis à la navigation maritime, corne de brume, trompette etc. et devant vous découvrez le Phare de Nividic construit de 1912 à 1936. Classé Monument Historique. À Ouessant, tout est beau, le paysage côtier est époustouflant, on a toujours envie de s’arrêter pour prendre des photos. Cela dit, soyez préparés car cette randonnée est assez longue une journée. Et surtout soyez très prudents sur les sentiers côtiers, car les falaises sont magnifiques mais aussi dangereuses si l’on ne reste pas concentré. Zéro pub Avec l'abonnement Club,naviguez sur le site sansêtre dérangé par despublicités Testez GRATUITEMENT Autres randonnées dans le secteur Visorandonneur +80m -73m 5h10 Facile Départ à Ouessant - 29 - Finistère Le premier jour de ce tour, qui en compte deux, vous conduit du Port du Stiff au village de Lampaul par la côte Sud. Il n'y a aucun balisage le long des sentiers pédestres mais ça ne pose pas de problème. Visorandonneur +153m -150m 2 jours Moyenne Départ à Ouessant - 29 - Finistère Cette randonnée permet de faire le tour de l'île située le plus à l'Ouest de la métropole. On découvre ses nombreux phares, sa végétation très rase, ses rochers,.... Il y a une atmosphère particulière. Visorandonneur +36m -32m 1h35 Facile Départ à France Après une belle traversée au départ de Brest où l'on passe par le goulet de la rade et la Pointe Saint-Mathieu dominée par les ruines de l'ancienne abbaye, le bateau fait escale au Conquet, autre point de départ. Cap sur Molène pour un dépaysement total. Ce tour de l'île offre de magnifiques paysages sur tout l'archipel et permet aussi de découvrir quelques aspects de la vie de ses habitants. Pour mieux en profiter, éviter les périodes d'affluence estivale ainsi que les week-end prolongés. Pour plus de randonnées, utilisez notre moteur de recherche. Les descriptions et la trace GPS de ce circuit restent la propriété de leur auteur. Ne pas les copier sans son autorisation. Options . Centrer Pente POI Sélectionnez un tronçon de trace en appuyant sur la touche "CTRL", analysez-le en appuyant sur la touche "x"DétailsA découvrir sur le parcours à partir de l'embarcadère - le phare du Stiff, premier phare construit sur l'île par Vauban - l'île de Keller au large de la baie de Béninou - le phare du Créach, le plus puissant d'Europe avec un signal lumineux d'une portée de 60km - le musée des phares et balises du phare du Créach - le phare de Nividic au large de la pointe de Pern, sur un rocher le plus à l'ouest de la France Métropolitaine - le bourg de Lampaul, centre de la vie économique et sociale d'Ouessant - la Pointe de Roc'h Hir et la baie de Penn Ar Roc'h au sud de l'île Informations complémentaires CommentairesPas encore de commentaire, connectez-vous pour en ajouter pour ajouter un commentaireLongueur et nombre de km1744 pts8 marqueursDenivelé et altitudeCalculés avec un seuil de 30 mètres et un lissage sur 15 points33 m3 m15 mPlusAffiché 1315 fois, téléchargé 96 fois UNE NUIT DE FOLIE Quand on arrive sur certaines îles, on vous demande C’est quand que vous repartez ? Quand on arrive à Ouessant, on vous dit combien de temps vous restez ?Je dédie cette histoire, inspirée par un fait vrai mais librement adapté, aux gens d’Ouessant, paisibles et solidaires. Le lapin et le corbeau. Ça commence comme une fable de La Fontaine. Un lapin et un corbeau tournent autour d’un rocher, l’un poursuivant l’autre. Ils se chamaillent pour le contrôle d’un minuscule territoire, un bout d’herbe, deux trous, trois cailloux. Le corbeau, imposant, se veut menaçant, le lapin, minuscule, se sauve puis, dans une bouffée d’audace, il fait front. L’attaquant hésite. Le manège va-t-il repartir dans l’autre sens ? Non, le corvidé, pas dupe, poursuit sa course. La ronde reprend. Chloé assiste à la scène depuis la chambre de veille », un belvédère au sommet du sémaphore de l’Ile. Ici, il n’y a pas si longtemps, se trouvait un QG des sauvetages en mer. La pièce, lumineuse, au parquet blond, fauteuil club et longue table de travail, est dotée d’une baie vitrée assurant une vue à 360°, ou presque. Un spectacle en cinémascope. La jeune femme y réside, seule, en qualité d’auteure. Une invitation royale de l’Ile. Devant elle, outre le petit couple en crise, donc, s’étalent la lande, les rochers, la mer, le ciel, le monde. On raconte qu’un précédent écrivain en résidence dans ce lieu, sidéré par toute cette grandeur, préféra se réfugier, deux étages en dessous, dans la cuisine où, entre le micro-onde et le lave-vaisselle, il se sentait moins intimidé pour écrire. Chaque soir, de sa tour de contrôle, Chloé fait le tour de l’Ile, quadrillée de phares, tout une guirlande de loupiotes qui tournicotent toute la nuit. Et chaque matin elle redécouvre son éden, le gazon marin piqueté de touffes d’œillets, des arméria, et sillonné de chemins de randonnée, le jaillissement des chaos rocheux et plus loin du bleu à l’infini, bleu nuit, bleu outremer, bleu ciel, bleu vert, bleu violet…. Les anciens aimaient donner un nom aux rochers sortis de la mer pour monter la garde en pleine terre » Marie le Franc, Dans l’île, 1932, à leurs formes fantastiques. Ils pouvaient y voir une procession de moines aux cagoules abaissées, ou une enceinte sacrée ou encore une sorte de cimetière druidique. Chloé se plait à imaginer les vestiges d’un fort effondré, d’un barrage inachevé, ou encore le dos crénelé d’un gigantesque dinosaure, ce fameux stegosaurus au dos cuirassé de plaques osseuses. Elle a adressé hier soir un SMS à son parisien d’amant Totale zenitude. Ile destressante. » Au beau milieu du monticule de pierres le plus proche du sémaphore, elle distingue une tache de couleur, une forme, un corps. Un homme. Chemise de trappeur, pantalon militaire, le genre grand gabarit, il est assis et deux chiens gambadent autour de lui, libres de leurs mouvements. Un petit nerveux à poils ras, blanc, sans doute un chien de chasse miniature, et un gros roux, tout ébouriffé, plus poussif. Ce dernier a du sentir une proie, il enfonce sa truffe dans un terrier ou un nid, sa queue bat comme un métronome. Leur propriétaire contemple le sémaphore. Plus exactement, il la regarde elle, Chloé. Elle se laisse faire. Vaniteuse, elle déambule même derrière la baie, sans raison, de droite à gauche. Puis elle l’oublie. Ce matin, la mer est calme, d’un bleu sombre. Une belle journée d’écriture et de lecture en perspective. Chloé a pris ses habitudes. Ecriture matinale, descente au bourg, lecture de la presse, repas arrosé, temps calme, écriture bis, balade, repas, dodo. La cuisine est au rez de chaussée, la chambre au premier étage, le bureau au second. Elle a vite compris que dans un sémaphore, il faut faire un usage raisonné des escaliers. Calculer son coup, prévoir, sinon on y passe son temps et son énergie. Eviter, quand on est au deuxième, d’oublier un bouquin en cuisine. Et vice versa. Sinon, la sanction, c’est quarante marches. Deux oublis quatre-vingt marches, etc. Quand on n’a pas de tête… ». Chaque espace est cloisonné. Ce qui signifie, par exemple, au rez-de-chaussée, dans un cadre restreint porte, sas, porte, cuisine, porte, salle de bains, porte, WC. On s’y fait vite. Chloé a récupéré, en vélo et sous un soleil glorieux comme disent les Anglais, sa moisson de journaux au bourg et vient de finir sa revue de presse. Elle collectionne les faits divers. Pas grand chose aujourd’hui à se mettre sous la dent. La maréchaussée a contrôlé deux nudistes résidant dans le Léon » sur les dunes de Keremma. Deux quinquas. Dans la mesure où cette pratique n’est autorisée dans aucun lieu public de l’arrondissement de Moralaix, les forces de l’ordre ont considéré qu’il s’agissait d’exhibition sexuelle » écrit subséquament le correspondant du journal. Les individus sont passibles d’un an de prison, de 15 000 euros d’amende et obligation de se soumettre au test ADN. Ça fait chère la bronzette. Autre nouvelle un responsable de la République en Marche de Rennes estime que la fac, c’est 30% d’étudiants alcoolos et 70% de dreadlocks ». Ou encore un adolescent vole un rouleau compresseur à Rezé. Les gendarmes n’ont pas eu trop de mal pour l’arrêter. Sortant de sa lecture, elle surprend le géant aux chiens qui poirote toujours sur le rocher. Il n’a pas bougé ? Ou il est revenu ? En tout cas, il la regarde avec la même constance. A peine s’il dodeline doucement de la tête il porte des écouteurs sur les oreilles. Elle se dit qu’elle va lui faire un signe, un petit coucou puis elle se retient. Elle replonge dans l’écriture de sa fiction. L’air marin doit lui booster les neurones, l’histoire vient bien. Elle y passe l’après midi, reprenant à peine son premier jet. Tout roule mais elle n’ose plus regarder l’amas rocheux qui lui fait face. Quand elle s’y essaye, à l’heure de l’apéro du soir, l’homme n’est plus là. Elle sourit de son inquiétude. Séquence escalier, descente, montée, porte, porte, redescente. Pour éviter de trop multiplier les va et vient, il lui arrive de laisser des objets sur les marches au niveau d’un étage. A monter ou descendre au prochain service. C’est notamment le cas des clés qu’elle a déposées près du pallier de la chambre, au premier. Elle n’y retrouve plus le trousseau. Elle est pourtant persuadée l’avoir laissé là lors de son dernier passage. Elle vérifie à l’étage en dessous, rien, remonte au bureau. Rien. Elle se hâte de rejoindre la porte d’entrée, la seule issue, légèrement en contrebas de la cuisine. Elle est bien fermée. De l’intérieur. Et le petit verrou de précaution est également tiré. Chloé s’est fait une petite montée d’adrénaline pour rien. N’empêche, où sont ces putains de clés ? Pour l’heure, le seul ennui, si la chose se confirme, c’est qu’elle va laisser le bâtiment ouvert quand elle sortira du sémaphore. C’est étrange comme elle a du mal avec ce mot. Il lui arrive de dire semophare ou samovar. Faudra qu’elle en parle à son psy. Elle se dit qu’une petite bouffe et une nuit de repos vont lui remettre les idées en place. Demain est un autre jour et les clés finiront bien par réapparaître. Repas poisson, petit rosé, crêpes. Puis elle attend le coucher de soleil c’est chaque soir une autre mise en scène. Certains crépuscules sont éblouissants, éclaboussants, d’autres timorés, presque honteux ou carrément nuls. Ce soir, le spectacle est très moyen, la faute à une longue traînée nuageuse noire. Chloé a l’habitude de s’endormir avec un polar. Demouzon ces jours-ci. L’ancêtre propose au lecteur de résoudre lui-même une série d’énigmes. Elle se laisse tenter. Elle est en train de chercher qui, du métayer chafoin, du fils indigne ou de la jeune maîtresse a trucidé le riche châtelain, en déguisant mal le meurtre en suicide quand elle croit entendre du bruit du côté de la porte d’entrée. Elle s’alarme pour rien, se dit-elle, la porte est bien fermée. C’est elle même qui s’en est chargée. Et l’a vérifié. Tout à l’heure elle a même fermé a clé la porte de sa chambre. Non pas qu’elle s’inquiète mais c’est, disons, par mesure de précaution. Une question de confort. Alors, ce bruit, c’est quoi ? Un courant d’air ? une machinerie quelconque ? Un appareil de chauffage ? le deshumidificateur du bureau qui radote ? une tuyauterie qui tousse ? une chasse d’eau qui yoyote ? Elle fait mentalement le tour de tous ces petits mécanismes qui eux ne dorment jamais. Mais le bruit se répète, s’amplifie. Elle pense qu’elle rêve, elle rêve qu’elle rêve, qu’elle a lu trop de nouvelles noires ces jours ci. Demouzon lui fout le bourdon, finalement, avec ses intrigues macabres. Elle va se réveiller ? Même pas car elle ne dort pas. Ce n’est plus du bruit, c’est presque un vacarme. Le vent ?! C’est le vent qui s’est levé, qui s’attaque au Sémaphore, se glisse dans les moindres interstices, cherche à soulever les dalles d’ardoise, à s’insinuer, à se faufiler, à raboter, à saboter. Du vent version coups de fouet à répétition. La météo avait diffusé un avis de tempête mais normalement c’était pour demain. Chloé se couche sur le dos, le ventre, en chien de fusil, elle se recroqueville sous sa couette, se fait fœtus, s’agrippe aux draps et c’est alors qu’elle sent. L’odeur. Une odeur de fumée. Le feu. Il y a le feu au sémaphore. La jeune femme jaillit, glacée, de son lit, ouvre la porte de la chambre, celle du couloir. Pas de doute, le feu a pris dans l’entrée. C’est là qu’elle laisse en vrac la presse une fois lue. Un gros paquet de gazettes usagées. Les flammes lèchent déjà la porte de la cuisine. Une fumée noire s’élève. Chloé veut descendre, hésite, renonce. Tout l’encadrement du rez de chaussée se consume, rougeoie, ça crépite, ça chuinte, ça pue. Elle remonte dans sa chambre, s’habille en catastrophe. Le feu, l’étage en dessous, fait exploser l’un après l’autre, les appareils ménagers, le micro-onde, la télé, le four. On dirait un monstre qui prend des forces avant de s’attaquer au prochain étage. Chloé, affolée, se dit que cette tour ne peut pas prendre feu, elle se le répète, c’est impossible, les murs sont solides, le granite ne crame pas, merde ! Mais l’incendie a trouvé de quoi se nourrir, les étagères, les parquets, les plinthes, les boiseries, et puis le recouvrement en plastique du couloir. Tout bouillonne, chaudron infâme, écoeurant. Elle quitte la chambre et se précipite vers le bureau qu’elle atteint au moment où le circuit électrique rend l’âme. Plus de lumière à part l’atroce rougeoiment dans l’escalier, derrière elle. Son ordi et son portable étaient restés sur la table de travail. Mais la liaison internet est coupée. Et le téléphone n’a plus de réseau. Le spectacle depuis la baie ne la rassure pas. La mer enrage, des ténèbres, des vagues se fracassent sur les rochers, explosent en gerbes blafardes. Ces fantômes se dressent, hauts comme des immeubles, puis s’évaporent. Elle repère le clignotement familier des phares mais découvre aussi sur sa droite, vers le bourg, des lueurs nouvelles. Il y a là un, deux, trois points lumineux, de toutes les couleurs, rouge, orange, bleu. Troublée, elle ne veut pas y croire des incendies se multiplient dans l’Ile. Comme au sémaphore. Plusieurs bâtiments, isolés, sont en feu. Et différents véhicules de pompiers s’activent. L’Ile brûle ? Impossible. C’est la guerre ? de qui contre qui ? Cette vision d’horreur tétanise la jeune femme. Elle se met à trembler, n’arrive plus à contrôler l’agitation de ses mains, de ses jambes, de tout son corps. Elle est prise de tournis mais elle doit se raisonner. Ressaisis toi ! » se dit-elle à haute voix. Des volutes de fumée commencent à se glisser sous la porte du bureau. Elle ne peut pas rester là. Il lui faut fuir encore. Elle ressort dans l’escalier où le feu ronfle, elle grimpe, à la sauvage, la dernière volée de marches, elle chute, continue, sur les genoux, les mains, comme une bête traquée, jusqu’à la porte d’accès à la terrasse. Elle tire un simple loquet, l’ouverture se fait. Elle sort. Là, le bruit est infernal. La mer gronde comme un volcan. Le vent secoue l’immense antenne plantée au milieu de la plate-forme, retenue aux quatre coins par des cables, formant une vraie toile d’araignée. Un des cables, justement, vient de se détacher et cingle en tout sens. Elle réalise alors qu’elle est pieds nus. Où aller ? un instant elle pense sauter et se souvient des images d’épouvante de ces gens coincés dans les Twin towers se précipitant dans le vide. Elle peut se fracasser sur la roche, elle peut aussi se récupérer sur un replat herbeux, qui sait ? Elle efface l’idée. Un nouveau bruit s’ajoute à l’atmosphère déjà saturée, une sorte de halètement de bête essoufflée. Un hélicoptère de la Sécurité civile stationne à la verticale du sémaphore. Le pilote l’a vue mais l’antenne le gêne, elle l’empêche de trop s’approcher. Quelqu’un de là-haut l’interpelle au mégaphone. Elle n’entend rien. Il répète, elle croit comprendre … seule ? » Elle confirme en hochant la tête, crie que OUI ELLE EST SEULE. L’autre continue de parler, elle finit par décoder … monter … antenne… ». Il lui demande d’escalader l’antenne qui doit faire quatre ou cinq mètres ! Elle n’a jamais rien escaladé de sa vie, à peine ses amants et ses maitresses. A l’école, l’épreuve de la corde au cours de gym était sa bête noire. Sans parler du vertige. Le mégaphone insiste …l’échelle… » Elle remarque en effet une échelle qui grimpe le long de l’antenne, protégée par une cage métallique. Elle croit comprendre qu’ils veulent la récupérer en haut de l’échelle. Elle ne s’imagine pas, mais pas du tout, grimper au sommet de cette installation qui, en plus, doit être maintenant en train d’osciller grave. Impossible » hurle-t-elle. C’est totalement impossible pour elle de se livrer à ce genre d’exploit. NON, impossible ! » L’hélicoptère s’éloigne. Il l’abandonne, ce fils de pute ?! Non, il revient, il voulait sans doute éviter une rafale de vent trop forte. Une sorte d’homme grenouille sort de l’engin, descend au bout d’un filin. Précautionneux, il se faufile entre les cables de la terrasse. Elle le rejoint. Ce contact, bien que caoutchouteux, lui fait un bien fou. Elle trouve à son sauveur une certaine ressemblance avec de Niro dans Brazil de Terry Gilliam, dans sa combinaison noire, toujours en train de glisser le long d’interminables cordes. Ça la fait sourire. La grenouille risque de se méprendre. C’est nerveux ! » hurle-t-elle. Pourquoi a-t-elle toujours besoin de s’excuser, de s’expliquer ? Le gendarme, impavide, lui enfile un harnais, lui dit de bien s’accrocher, des deux mains, à la petite roue au dessus de sa tête et la voilà hélitreuillée, récupérée puis déposée sur un siège. Magique ! Le temps de récupérer le batracien, de contempler une dernière fois le sémaphore, qui a l’air d’un monstre avec ses fenêtres rouge feu, et l’hélicoptère vire de bord. La salle omnisports du bourg est noire de monde malgré l’heure. Chloé a besoin d’un bon moment pour dominer ses tremblements et retrouver l’usage à peu près normal de la parole, oublier ces tics nerveux qui la secouaient dans l’hélico. Elle croise un groupe où elle reconnaît la marchande de journaux, la vendeuse de poissons, la gardienne du musée, la serveuse du restaurant, la caissière de MiniMarket, une élue, la garde champêtre, la conductrice du taxi, la bibliothécaire, la correspondante de Ouest France, celle du Télégramme, la tenancière du PMU … Que des femmes ! C’est l’Ile des femmes ? Elle distingue même, dans l’assistance, une mamie fort sympathique qu’elle croise parfois lors de ses sorties en vélo et qu’elle surnomme en son for Dame Tankia ». Chaque fois qu’elle lui demande si tout va bien, la dame répond Tant qu’y a pas de vent… ! » Elle n’a pas tort. Toutes sont au courant de ses mésaventures. Et du reste. Elles se relaient pour lui raconter la nuit. Résumé. Dix heures, hier soir, au sud-est de l’Ile, incendie d’une résidence. Branle-bas de combat. Pompiers et tout le bazar. Onze heures trente, le feu prend salle polyvalente, dans le bourg cette fois. Grosse angoisse. Personne ne peut croire au hasard. Les autorités alertent le continent. Minuit, l’écomusée, au nord-ouest, part en fumée, une collection rare d’habits d’antan est anéantie. Peu après, le feu touche le sémaphore. Chloé connaît. Là, tous les voyants passent au rouge. Alarme générale. Une heure, c’est au tour du central téléphonique d’être touché. L’Ile est isolée. Totale panique. Evidemment, cette série de catastrophes suscite une grosse mobilisation. Déboulent du continent un renfort de pompiers, une trentaine de gendarmes, des gens du GIGN et un hélico de la sécurité civile. Chloé opine. Et questionne. – On a une idée ? – De quoi ? – De ce qui se passe, en vrai ? – On sait même qui c’est. – Déjà ? – C’est une vieille histoire. Le chœur des femmes lui répond, un peu dans le désordre mais Chloé comprend. On » soupçonne un îlien, installé là depuis une quinzaine d’années. Un quinqua. Le type a une méchante réputation et un dossier déjà lourd. Il aurait pété les plombs. – Vous pouvez m’en dire plus ? Le pyromane est sculpteur de pierre, toujours accompagné de deux chiens… – Qu’il laisse courir en liberté ! Ça se fait pas ici, avec des moutons partout. Chloé revoit l’homme, la veille, sur son rocher, avec sa petite ménagerie. – Jusque là… – Attends. C’est un solitaire qui a le don d’agacer le monde. Le genre râleur professionnel, le parfait casse couilles. Toujours en guerre. Contre l’Institution. L’Autorité. L’Administration. La Machine. L’Organisation. L’Autre. – Y en a beaucoup comme ça. – Oui mais lui … C’est un géant, presque deux mètres, sportif. Il pratique pratiquait le kite surf, la glisse nautique tiré par cerf-volant. Il y a deux ans environ, il a commencé à souffrir du dos et des cervicales. Accident ? maladie ? D’où problèmes avec son travail, son sport. Et puis bien sûr des problèmes d’argent. Impayés de loyers, bisbilles avec l’agence bancaire. A partir de là, tout est parti en vrille. Lui d’ordinaire grincheux devient agressif. Les choses dégénèrent une première fois à l’agence de la banque. On lui demande un justificatif d’identité, le genre de démarches qui le met en rogne. Il est interdit bancaire. Grosse colère. Il s’en prend à la guichetière, crie au voleur, fait un gros scandale, prend dans la caisse ? En tout cas le clash est assimilé à un hold-up. Procès verbal puis procès tout court où il écope d’un an de tôle, ferme, et d’une interdiction de séjour dans l’île. Il conteste et peut rester dans l’attente de confirmation, ou pas, du jugement. Là-dessus, il est menacé d’expulsion. Il devait être expulsé hier ». Alors le type explose. Il brûle sa maison et s’attaque à l’Ile, à ce qui fait son identité. C’est la commune, le département, l’Etat qu’il vise. A coups de cocktails Molotov, ou assimilés. – Et maintenant ? – Il court toujours. Pour l’heure, il n’y a que des dégâts matériels. Mais vous avez eu chaud… La formule est inappropriée. On l’assure peu après que les pompiers ont réussi à éteindre le feu au sémaphore, les dégats seraient finalement limités au rez de chaussée. Et les chiens ? », se dit Chloé. Personne n’en parle. Elle n’ose pas prendre de leurs nouvelles. – Vous pensez aux chiens, non ? lui dit sa voisine, perspicace. Il les a brulés aussi. C’est quand j’ai appris ça que j’ai commencé à avoir peur. Vers le petit matin, ça s’agite du côté des uniformes. Une voisine traduit Ils l’ont repéré ! » Les rumeurs les plus folles se mettent à courir jusqu’à ce qu’un officiel annonce, une bonne heure plus tard, que le pyromane se trouvait sur une plage du nord-ouest de l’île. Il était assis sur le sable, adossé à un rocher, les écouteurs sur les oreilles, les veines ouvertes et un poignard dans le cœur. C’est ce qui s’appelle un suicide social » dit une voix. En fin de matinée, Chloé a l’autorisation de repasser, accompagnée, au sémaphore. La cuisine est dans un triste état mais les étages n’ont pas trop souffert. Les portes finalement ont joué leur rôle de coupe-feu. La fumée cependant a barbouillé toutes les parois. De la baie, qui fut son bureau, changement radical de décor. Un brouillard épais masque tout ; adieu la lande, les rochers, les phares, la mer, le ciel. Rideau. Chloé téléphone au taxi pour demander l’heure du prochain ferry et réserve sa place. Sur le quai, on ne parle que de ça. Une ilienne met au courant une connaissance qui débarque, c’est le mot juste. Toutes deux chuchotent, comme des conspiratrices. Seuls les débuts de phrase sont audibles. – Il a brulé… – Ooooh… – Il a brûlé… – Noooonn…. – Et pis il s’est… – L’aurait dû commencer par la fin ! Même chose sur le ferry. Tout le monde commente. Chloé écoute. Une mère et sa fille se chamaillent – Et d’abord, la mort des deux dames, l’an dernier, les deux noyées. Il avait été entendu par les gendarmes, non ? – Mais enfin, c’était accidentel, l’enquête a conclu à un glissement de terrains. On va pas tout lui mettre sur le dos, maintenant. – Mais c’étaient ses propriétaires. – Savais pas. A l’avant du ferry, un vieil homme attire une petite assistance. Ses voisins lui donnent du Docteur ». Il a travaillé dans ma maison, dit l’ancien. C’était un bon ouvrier, y a pas à dire, cher mais compétent. Il a mal vécu ses douleurs au dos. Il y a eu alors un engrenage. Plus de travail, plus d’argent, plus de sport… » Le docteur se tait, personne n’intervient. Il reprend C’était un garçon intelligent, cultivé mais il avait un côté vieil ado, en guerre contre les lois, toujours injustes, pensait-il. Il était chez moi au début du mois, il pleurait. Il se croyait victime de l’Ile, alors il a tué l’Ile ! Pourtant il a été aidé… » Le groupe garde le silence jusqu’à l’arrivée. Chloé se demande quelle musique l’homme pouvait bien écouter, dans ses oreillettes, en agonisant. Dies irae ? Gerard Streiff Publié le 21 juin 2019 à 13h26, mis à jour le 25 juin 2019 à 9h55Source JT 13h SemaineJT 13H - Comme chaque année, Gilbert organise sa traditionnelle tonte des moutons sur l'île d' l'île d'Ouessant, dans le Finistère, la traditionnelle tonte des moutons arrive en cette fin de printemps. Laissées en liberté pendant presque toute l'année, les bêtes affichent leur caractère. Gilbert, le tondeur professionnel venu du continent, libère les mammifères de leurs habits d'hiver. L'Ouessant est connue pour ses moutons noirs et la qualité de leur laine. Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 13h du 21/06/2019 présenté par Jean-Pierre Pernaut sur TF1. Vous retrouverez au programme du JT de 13h du 21 juin 2019 des reportages sur l'actualité politique économique, internationale et culturelle, des analyses et rebonds sur les principaux thèmes du jour, des sujets en régions ainsi que des enquêtes sur les sujets qui concernent le quotidien des lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir la galerie photo La presqu’île de Crozon, à l’extrémité occidentale de la Bretagne, recèle des paysages à couper le souffle aux falaises du Cap de la Chèvre ou celles de la pointe de Pen Hir, succèdent les longues plages de Morgat ou de la Palue et le charmant port de Camaret. Du charmant port de Camaret, où vous séjournez, le bateau traverse l’archipel de Molène classée réserve naturelle pour débarquer à Ouessant l’île sentinelle, avant le Grand Large, une dernière nuit inoubliable sur l’île. Les points forts La découverte du bout du Monde des points de vue spectaculaires Le charme du port de Camaret Un hôtel 3* avec Spa et piscine Le programme Jour 1 Arrivée à Brest et traversée pour Crozon Rendez-vous à l’embarcadère sur le port de Brest. Traversée pour la presqu’île de Crozon et petit transfert pour rejoindre l’hôtel. Nuit à Morgat. Jour 2 Le Cap de la Chèvre Le Cap de la Chèvre, des falaises hautes qui tombent à pic dans la mer et une vue sur la baie de Douarnenez. 23 km – dénivelé +/- 600 m. Nuit à Morgat. Jour 3 De Morgat à Telgruc-sur-mer Une belle balade sur un sentier où se succèdent de charmantes plages Trez-Bellec, plage de l’Aber, Postolonec encadrée par d’impressionnants promontoires rocheux. Retour en taxi depuis la plage de Telgruc. 17 km – dénivelé +/- 400 m. Nuit à Morgat. Jour 4 Les Tas de Pois » et le port de Camaret Petit transfert à Camaret. Randonnée vers l’extrémité ouest de la presqu’île avec des points de vue spectaculaires les Tas de pois, énormes rochers qui s’avancent dans la mer, la pointe de Pen Hir, la pointe du Toulinguet. 19 km – dénivelé +/- 350m. Nuit à l’hôtel à Camaret hôtel avec piscine et spa Jour 5 L’île d’Ouessant Traversée pour Ouessant 1h. Randonnée sur la côte nord de l’île, où vous découvrez au large l’île Keller, le phare de Créac’h, l’écomusée … 15 km – dénivelé +/- 100m. Nuit à l’hôtel à Ouessant. Jour 6 L’île d’Ouessant – Brest Après le petit déjeuner, départ vers l’extrémité sud de l’île pour apercevoir au large le phare de la Jument 47 m. L’itinéraire continue alors le long de hautes falaises où nichent de nombreux oiseaux marins. Traversée retour vers le continent jusqu’à Brest; 14 km de marche – dénivelé +/- 200m. Validité et tarifs Le prix comprend Hébergement 5 nuits en chambre double 5 petits-déjeuners Le transfert des bagages Une assistance téléphonique Les frais de dossiers Les documents de voyage les traversées maritimes mentionnées Le prix ne comprend pas Le petit déjeuner du jour 1 Les déjeuners Les dîners qui ne sont pas mentionné dans "le prix comprend" Option chambre individuelle à partir de + 210 € par personne Option demi-pension 5 dîners + 120 € par personne Pour les voyageurs “solo”, nous consulter. Infos pratiques Type de voyage Randonnées à pied sur des sentiers côtiers et quelques petites routes peu fréquentées. Excursion maritime. Lieu de RDV Début du séjour le jour 1 à l’embarcadère de Brest. Fin du séjour le jour 6 au port de Brest en fin d’après-midi généralement vers 19h Hébergement et restauration Hôtel 2** à Morgat 3 nuits, 3*** à Camaret 1 nuit et 3*** à Ouessant 1 nuit. Nuit et petit-déjeuner, supplément demi-pension en option. Documents de voyage 1 carte au 1/25000ème, un road-book faisant office de guide pour les randonnées et pour le déroulé du séjour. Comment venir En train TGV Paris – Brest 3h30 à 4h En voiture depuis Paris, 5h30 à 6h de route. Stationnement parkings payants et surveillés à Brest. Quelque places de stationnement gratuites proches de l’embarcadère. Se renseigner auprès de l’office de tourisme de Brest. Galerie photo

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